Nouvelle révélation grâce à l’ouverture du dossier Snowden : la première agence de renseignement française, la DGSE (Direction Générale de la Sécurité Extérieure, rien que ça…) aurait, avec la complicité de l’opérateur Orange, un accès illimité et inconditionnel à toutes les données échangées par les abonnées du premier opérateur de l’hexagone…
Vous connaissez sans doute le DogeCoin non ? Mais si, cette monnaie virtuelle qui deviendra sans doute un jour LA web-monnaie ! Comme toutes les crypto-monnaies, le DogeCoin s’échange sur toute la planète. Sa production est appelée « minage » et consiste en un calcul distribué participatif. Ainsi, quiconque participe à la vie de la monnaie en décodant les transactions et le calcul de production gagne quelques unités de cette devise. Aussi, il est particulièrement tentant de mettre à profit toutes les ressources auxquelles on a accès, surtout lorsque l’on a à sa disposition un super-calculateur de 14000 cœurs…
Aujourd’hui, pour ce second épisode, nous allons affranchir notre pi de ses chaînes réseau en lui faisant prendre un peu de valeur et en installant un module Wifi USB TP-Link TL-WN725N. Ce dongle existe en deux versions, la première est automatiquement reconnue par la framboise, donc j’ai bien évidemment acheté la deuxième… Le but est donc désormais d’avoir un pi transportable qui n’ait besoin que d’une alimentation, l’accès étant garanti par le ssh et le réseau désormais wireless !
Vous connaissez sans doute tous le raspberry pi (sinon demandez-vous ce que vous faites sur ce site…). Pour ceux qui auraient dormi ces 8 dernières années (le projet pi est né en 2006), il s’agit d’un tout petit petit petit ordinateur à prix dérisoire. Pour faire simple, pour la modique somme de 31,69€, vous serez le chanceux propriétaire d’un pc comprenant un processeur ARM 700 Mhz, 2 ports USB, un RJ 45 (réseau), une sortie HDMI, une sortie RCA, une sortie audio et 512 Mo de RAM ! Sans oublier une tripotée de ports GPIO ! L’animal fonctionne en 5V à 1A, soit environ une consommation de 3kWh, une paille… À partir de là, tout le monde peut laisser libre cours à son imagination.
Aujourd’hui, on estime la population de personnes atteintes de dyslexie à environ 700 millions, soit près de 10% de la population mondiale… Ce trouble, visiblement d’origine neurologique, entraîne de lourdes difficultés de lecture pour ceux qui en sont atteints. Bégaiement à la lecture haute, confusion des morphèmes, parfois des phonèmes, perte de la sémantique… autant de désagrément qui, à ce jour, handicapent lourdement les victimes de ce qui est aujourd’hui reconnu comme une maladie. Toutefois, les recherches avancent et il semblerait que l’univers GNU ne soit pas en reste à ce sujet puisqu’aujourd’hui un projet visant à faciliter la vie des dyslexiques prend de plus en plus d’ampleur : OpenDyslexic !
Code, code, code ! Souvent, on pense qu’il suffit de maîtriser le « code » (ce qui en fait un objet quasi-sacré…) afin de contribuer à des projets libres, et pourtant ! Si les codeurs (ou programmeurs) font la plus grosse partie du travail, le monde du libre a besoin de toutes les bonnes volontés. Tour d’horizon de ce que je réponds aux « non-initiés » qui, souvent, me demande comment ils peuvent contribuer au développement du logiciel libre ! poursuivre la lecture…
Dans la sacro sainte guerre contre les vilains pirates qui osent se cultiver en téléchargeant des contenus sans les payer, seuls les preux chevaliers de notre Hadopi nationale peuvent vaincre et percer à jour tous ceux qui osent détruire le patrimoine culturel par leurs exactions ! Ces héros des temps modernes travaillent dans l’ombre et fouillent les pires recoins de la toile afin de traquer et d’éliminer les pires rebuts de l’internétité. La preuve de ce combat ? Un rapport publié voilà quelques jours, document qui me fait dire que j’aime Hadopi ; HADOPI, la seule autorité qui vous dresse la liste des meilleurs sites de téléchargement…
Vous connaissez, ou peut-être utilisez même, les services de stockage en ligne tels que Dropbox, Box.net, Ubuntu One et consor. Ces systèmes, de plus en plus populaires depuis plusieurs années, permettent à l’utilisateur lambda d’avoir ses données stockées dans le Cloud et d’y avoir accès sur différentes machines en utilisant une synchronisation automatique. poursuivre la lecture…
Depuis quelques mois, Mozilla développe à vitesse grand V. En effet, il n’est pas une quinzaine sans qu’une nouvelle version de Firefox ne voit le jour et n’inonde notre cher web. Quand je me rappelle de la « Révolution » qu’avait provoquée la sortie de Firefox 2 et que je m’aperçois que nous en sommes à la treizième mouture, je reste sans voix. poursuivre la lecture…
Vous avez peut-être un vieux téléphone sous Android en train de prendre la poussière au fin fond du tiroir de votre bureau. Histoire que ce matériel ne demeure pas inutile, les fous furieux (parce qu’ils le sont !) de XDA vous proposent de le transformer en serveur web, rien de moins ! poursuivre la lecture…
